Discipline spectaculaire, elle fait appel au sang froid et au sens de l’équilibre à la fois sur l’eau et dans les airs. Pour que la performance soit prise en compte, le skieur ne doit pas chuter à la réception.
La vitesse d’arrivée sur le tremplin, l’impulsion et la position durant la phase d’envol conditionnent la performance. Le skieur, après avoir choisi la vitesse du bateau (au maximum 54 km/h pour les femmes et 57 km/h pour les hommes), a droit à 3 sauts, le plus long étant retenu pour les résultats.